Un Espace d’enseignement

UN PROJET PEDAGOGIQUE A LA POINTE DE L’AVENIR

 

Une Ecole bihebdomadaire

 Après la fermeture du Collège en 1989, l’Association de Parents d’Élèves créée en 1990 a ouvert une école bihebdomadaire. Regroupant des élèves du sud parisien, cette école, en activité jusqu’en 2017, comptait une centaine d’élèves. Sa réouverture laisse espérer un effectif au moins égal.

La surface disponible dans le seul bâtiment des salles de classe est 959 m². Elle permet d’abriter 300 élèves environ. D’une part, les écoles bihebdomadaires de la région parisienne en sureffectif par rapport à la taille de leurs locaux pourraient s’intégrer l’école bihebdomadaire de Sèvres dans le cadre d’un partenariat. D’autre part, un système de ramassage scolaire permettra d’intégrer des élèves des localités de l’ensemble des Hauts-de-Seine.

L’enseignement de la langue arménienne intègrera l’informatique. L’école bihebdomadaire sera une école « connectée » et constituera le module principal d’un TUMO des Hauts-de-Seine.

 Un TUMO – Hauts-de-Seine

 TUMO est un programme pédagogique extrascolaire créé à Erevan en 2011 à l’initiative d’un couple de mécènes arméno-américains Sam et Silva Simonian. Ce Centre TUMO fournit un accès ouvert, complet et gratuit aux élèves de collège et lycée de 11 à 18 ans dans sept domaines de technologies numériques : programmation, modélisation 3D, design graphique, cinéma, jeu vidéo, musique et dessin.

Une des salles du TUMO-Erevan

En 2018, s’inspirant du Centre de Erevan, la ville de Paris a créé un Centre TUMO situé au Forum de l’Image aux Halles. En 2020, TUMO-Paris et TUMO-Erevan envisagent d’exporter ce concept à Moscou, Beyrouth et Tirana. Le projet pédagogique du Collège abritera ainsi un TUMO-Hauts-de-Seine, comprenant un module « langues » dont la langue arménienne qui servira ainsi de base à l’apprentissage de la langue arménienne par les élèves de l’Ecole bihebdomadaire.

Une des salles du TUMO-Paris

Un centre de formation à la langue française

De même, afin de faciliter l’intégration des primo-arrivants, le module « langue » de ce Centre Tumo-Hauts-de-Seine permettra d’abriter un module « apprentissage à la langue française », utilisé notamment par les Arméniens nouvellement arrivés en France, avec un accompagnement de formateurs durant les jours de la semaine laissés disponibles par l’école bihebdomadaire.

Un centre de formation des maîtres

 La langue arménienne peut être choisie comme langue vivante 1 ou 2 dans les épreuves du baccalauréat général. Cependant, un des problèmes majeurs de l’enseignement de la langue arménienne en France, aussi bien dans les écoles privées que dans les établissements publics, est le manque d’enseignants qualifiés. L’un des objectifs de la section « Enseignement » du projet est d’organiser périodiquement des sessions de formation d’enseignants, intégrant notamment les outils informatiques.

UNE RÉSIDENCE ESTUDIANTINE

UN ESPACE DE VIE

 

Un havre de paix et de savoir

A sa fondation en 1846, de sa restauration en 1929 à sa fermeture en 1989, le Collège Arménien comportait un internat. Tout comme le couvent de l’Île Saint-Lazare à Venise, le Collège de Sèvres se voulait un havre de paix et de savoir. Le projet Sèvres 2020 intègre ce concept sous la forme d’une résidence d’étudiants ouverte à tous.

Cet ensemble pourrait prendre place sur l’espace occupé par l’actuel bâtiment du réfectoire et des dortoirs.

Un collège à l’horizon 2030

 La région Île-de-France compte quatre écoles quotidiennes ;

  • L’Ecole Hrant Dink à Arnouville : maternelle et élémentaire
  • L’Ecole Saint-Mesrob Arabian à Alfortville : maternelle et élémentaire
  • L’Ecole Tebrotzassère du Raincy, de la maternelle au collège,
  • L’Ecole Hamaskaïne-Tarkmantchatz d’Issy-les-Moulineaux, maternelle et élémentaire.

Une des ambitions du projet est de compléter ce dispositif à l’horizon 2030 par la transformation de l’école bihebdomadaire en un Collège réunissant les trois cycles, maternelle, élémentaire et collège.

De même, afin de faciliter l’intégration des primo-arrivants, le module « langue » de ce Centre Tumo-Hauts-de-Seine permettra d’abriter un module « apprentissage à la langue française », utilisé notamment par les Arméniens nouvellement arrivés en France, avec un accompagnement de formateurs durant les jours de la semaine laissés disponibles par l’école bihebdomadaire.

La vocation de cette résidence sera d’accueillir des étudiants de tous les horizons. La proximité de la Cité de la Musique, située sur l’Île Seguin, face au Collège, est susceptible d’attirer de jeunes musiciens, élèves de l’Académie Musicale de la Cité de la Musique, dirigée par le célèbre contre-ténor Philippe Jaroussky La résidence comportera des lieux de stockage d’instruments, de salles de travail. Le Théâtre, réaménagé, pourra servir de lieu de répétition et de spectacle pendant les plages de temps où les réunions, et autres productions artistiques le laisseront vacant.

Une fois réhabilité, cet espace retrouvera sa vocation première. Il sera mis à la disposition du public, en particulier les associations culturelles de la Ville de Sèvres.

  La salle des fêtes dans son état actuel murés pour raison de sécurité

De la culture à la fête, une salle polyvalente

Afin de permettre des manifestations diverses, fêtes, conférences, spectacles, etc., le site dispose d’une salle des fêtes modulables qui a longtemps servi de théâtre.

Un plateau de 3 500 m² situé en contrebas du Parc du Brimborion pourra servir de parking aussi bien que de lieu de festivités pour des kermesses ou autres activités caritatives

 

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